Entre Long Beach au Sud et Redondo au Nord, la péninsule rocheuse de Palos Verdes est un autre monde en soit. Cet univers montagneux, qui se termine par des falaises rocheuses tombant à pic sur le Pacifique, offre certaines des plus belles-vues de l'agglomération. Luxuriant, peu traversant, Palos Verdes a expérimenté très tôt les opérations urbaines fermées.
Banham décrivait le lieu en ces termes :
"Au Sud, l'enclave
la plus importante est la montagne de Paolos Verdes, dont les paysages
si désirables - végétation somptueuse, prairies soigneusement tondues
avec vues sur la mer - accueillent les extraordinaires lotissements qui ont pour nom Palos Verdes, Palos Verdes Estate, Rolling Hills et Rolling Hills Estate."
C'est un véritable "art de l'enclave" qui est à l'oeuvre ici.
Ces ensembles déjà anciens ont réintégrés le tissu normal de la ville. L’ensemble immobilier nouveau d' "Ocean Front", non fermé possède toutefois un règlement apparemment strict et son propre personnel de sécurité. Maisons basses, alignées sans esprit sur un site terrassé tout exprès. Contrepoint d'autres expaces montagneux, cet en semble ne correspond-il vraiment à la description de Banham :
"Enfoui toujours plus profondément dans les lacets des routes tortueuses et l'intimité des lauriers, [l'habitat originel des collines], continuera de représenter, pour l'immense majorité de la classe moyenne, la quintessence du rêve suburbain."
Sur la route de corniche, dans un exubérant bouquet d'eucalyptus, la Wayfarer (comme les lunettes) Chapel ressemble à l'église de la chanson California Dreamin'; Cette œuvre tardive de Frank Lloyd Wright n'enlève rien au tableau.
An urban autopsy of the contemporary American city by two French architects spending several months in the US. Picking places, highways, buildings, parks, neighborhoods, docks or urban structures to build a universal urban grammar : our suburban collection. Une autopsie urbaine de la ville américaine par deux architectes français passant quelques mois aux États-Unis.
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